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Blagues : NTIC |
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Le sens des mots avant l'arrivée des ordinateurs Les mots avaient tout un autre sens avant que les ordinateurs n'arrivent : Un programme, c'était à la télévision... Une touche de clavier, c'était pour jouer du piano... La mémoire, on la perdait avec l'âge... Une souris... c'était un petit animal indésirable... Aujourd'hui la souris, on lui achète même son propre tapis... Couper/Coller, ça se faisait avec des ciseaux et de la colle... Et un virus, c'était une bonne grippe ! _____________________________________________________ Un tiers du courriel, c'est du pourriel La nouvelle économie crée tous les jours. Dernière création en date «pourriel» pour dire mail parasite ou pourri en anglais «spam». Selon les statistiques, un tiers du courriel, c'est du pourriel. Si vous envoyez le deuxième tiers systématiquement à la poubelle, alors que le troisième est destiné à vous mettre en garde contre les deux premiers, il vous restera des e-mail un tas de virus à nettoyer. _____________________________________________________ Deux tiers des appels téléphoniques non rentables Selon une étude publiée dans Economie et Comptabilité, André-Paul Bahuon affirme que 2/3 environ des appels téléphoniques ne sont pas rentables ! (1) Que dire alors du temps passé au téléphone par les dirigeants et cadres d'entreprises où les saluts, formules de gentillesse réciproques, et plaisanteries prennent déjà les 2/3 du temps d'appel. Le coût réel d'une minute utile de téléphone serait d'une cherté légendaire. Pour de nombreuses entreprises le montant des factures de téléphone continue de grimper même lorsque les activités stagnent. __________________________ (1)
Cité par The Economist (8 Février 1992) sous le titre "Qu'ils mangent de
la pollution", et le Financial
times (10 Février 1992) sous le titre " libérez la planète terre des économistes". _____________________________________________________ (La presse de Tunisie, anecdote rapportée par Sofiène Hemissi) Lors
d'un salon informatique, Bill Gates compare l'industrie informatique avec
l'industrie automobile et conclut ainsi son raisonnement : «Si General Motors
(GM) avait vécu la même progression technologique que celle de l'industrie
informatique, nous conduirions aujourd'hui des automobiles coûtant 25 dollars
et qui pourraient parcourir 1000 miles avec un gallon d'essence». Ce
à quoi General Motors a immédiatement réagi en faisant parvenir le
communiqué de presse suivant, rédigé par Welch en personne : «Si
General Motors avait développé sa technologie de la même manière que
Microsoft, les voitures que nous conduirions aujourd'hui auraient les
propriétés suivantes : 1.
Deux fois par jour, votre voiture aurait un accident sans aucune raison. 2.
Chaque fois que les lignes blanches de signalisation routière seraient
repeintes, il faudrait racheter une nouvelle voiture. 3.
De temps en temps, votre auto quitterait l'autoroute sans raison connue. Il
faudrait simplement accepter cet état de fait, redémarrer et reprendre la
route. 4.
Parfois, lors de manœuvres précises, comme par exemple tourner à gauche,
votre auto s'arrêterait de fonctionner puis refuserait de redémarrer. Dans
cette hypothèse, il ne vous resterait plus qu'à réinstaller l'engin. 5.
Les autos ne seraient livrées qu'avec un seul siège, car il faudrait choisir
entre «Car 95» et «Car NT». Chaque siège supplémentaire devrait être
commandé à l'unité. 6.
Macintosh développerait des voitures fonctionnant à l'énergie solaire,
fiables, cinq fois plus rapides et deux fois plus légères. Mais elles ne
pourraient emprunter que 5% des routes. 7.
Les témoins d'huile, de température et de batterie seraient remplacés par
un unique témoin «par défaut». 8.
Les sièges exigeraient que les passagers aient la même taille et pèsent le
même poids. 9.
Avant de s'ouvrir, le système Airbag poserait systématiquement la question
suivante : «Êtes-vous sûr ?». 10.
Quelquefois, la condamnation centralisée de la voiture se bloquerait. Vous ne
pourriez alors la remettre en marche qu'au moyen d'une astuce. Par exemple,
tirer la poignée de porte, tourner la clé dans la serrure et d'une autre main
attraper l'antenne radio, le tout simultanément. 11.
General Motors vous forcerait à acheter avec chaque voiture un jeu de
cartes routières De luxe de la société Rand McNally (depuis peu filiale de
GM), même lorsque vous ne souhaitez pas ou n'avez pas besoin de ces cartes. Au
cas où vous refuseriez cette option, la voiture roulerait 50 fois moins vite. A
cause de cela, GM deviendrait une cible fréquente de procès. 12.
A chaque fois que GM sortirait un nouveau modèle, chaque conducteur devrait
réapprendre à conduire, car aucune des commandes ne fonctionnerait exactement
comme dans les modèles précédents. 13. Enfin, il faudrait appuyer sur le bouton "Démarrer" pour stopper le moteur. _____________________________________________________ Au
début, je n'étais franchement pas inquiet. Le bogue de l'an 2000 a même
débogué mon multilinguisme : millenium bug, Jahr2000-Problem, problema del ano
2000 ou, nom de guerre, year 2 kilo (Y2K). Mais, en journaliste consciencieux,
je surveille notre "fil à nous" (nom de guerre AFP), et là, je lis :
"Outre l'informatique lourde, il y a un risque pour tout appareil géré
par un microprocesseur : système d'alarme, de navigation, ascenseurs...". C'est
là que le doute s'est immiscé. Et de ce chef, j'ai décidé de me laver le
cerveau sur internet. Sur le moteur de recherche, j'inscris "bogue".
Réponse élargie : 1.763 sites. Sans me décourager, j'ai navigué
jusqu'à découvrir, du côté des Etat-Unis, parmi plusieurs pasteurs
astrologues et conseillers de toute sorte, le "magasin Y2K". Sachez
donc que, pour 4.800 dollars, vous offrirez à votre famille (de quatre
personnes) toute l'année 2000 durant, un "honnête" approvisionnement
alimentaire... déshydraté, il va de soi ! Ma navigation s'est révélée,
disons-le, houleuse. Mais, ce vendredi, quand j'ai appris qu'une délégation du
Pentagone se rendait en Russie "en vue d'une coopération" destinée
à prévenir les dégâts éventuellement liés au bogue dans les systèmes
russes de défense antiaérienne et de contrôle des missiles nucléaires, là,
j'ai failli couler. Heureusement, je dînais avec un ami informaticien. Pour
lui, ça baigne ! (L'usine Nouvelle n° 2676) _____________________________________________________ Retour
aux schémas de survie à l'ancienne, prosélytisme religieux, prophéties
apocalyptiques sur le Web et les radios... Et si la panique liée au bogue
était plus grave que les défaillances techniques ? C'est la question que pose
le "Time", qui prend un malin plaisir à égrener les bizarreries en
cours plutôt profitables à leurs initiateurs - comme ces romans sur
l'Antéchrist version post-2000 vendus à 3 millions d'exemplaires. A l'appui,
un sondage montre que 59% des Américains s'inquiètent un peu ou beaucoup du
Y2K. Et qu'un tiers d'entre eux compte faire des stocks alimentaires, alors
que... 47% prévoient de sortir des économies de leurs comptes en banque ! Or
il suffirait que, hantés par la peur d'une crise, trop de citoyens
désinvestissent en Bourse pour entraîner effectivement une chute des marchés.
Conclusion : il suffit de croire aux prophéties pour les concrétiser.
(TIME du 18 janvier 1999). _____________________________________________________ Les
gros donneurs d'ordres américains, tel General Motors, lancent un ultimatum à
leurs fournisseurs : soyez prêts pour le bogue de l'an 2000 ou disparaissez !
Date limite : le 31 mars. Selon une enquête de Cap Gemini America, 69% des
grands groupes sont décidés à cesser de conclure des affaires avec les
entreprises qui ne mettront pas leur pendule à l'heure. Des faillites en
perspective, mais aussi l'occasion de faire le ménage dans la chaîne des
fournisseurs. (BusinessWeek
du 1er mars 1999). _____________________________________________________ Je
ne comprends pas ces gens qui crient au feu alors que Microsoft leur a appris
depuis des années à travailler avec une machine qui plante trois fois par
jour. (Jean-Paul FIGER, directeur de la technologie chez Cap Gemini dans "Le Figaro" du 16 février 1999). _____________________________________________________ Sur
un site comptable, vous lisez "consultations gratuites". Vous
cliquez pour voir s'afficher : «Nos
prestations ne sont pas gratuites, elles sont hélas payantes ! Le plus
généralement nos clients considèrent avoir obtenu l'assistance qu'ils
cherchaient à un coût raisonnable, et avoir plus qu'économisé les
honoraires facturés. Toute personne sérieuse cherchant et ayant
l'intention de faire appel à un cabinet comptable de manière régulière
sera reçue personnellement et ne sera pas facturée pour cette première
consultation. Selon ses souhaits, il ne lui sera pas téléphoné ou
écrit ensuite, sauf une petite carte de vœux». _____________________________________________________ Histoire
vraie enregistrée dans un service Hot-line d'assistance informatique.
L'opérateur a été licencié pour faute grave, mais il a assigné sa
société en justice pour licenciement abusif. "R
H computer assistant ; que puis-je pour vous ? -
Eh bien j'ai un problème avec WordPerfect. -
Quelle sorte de problème ? -
Eh bien j'étais en train de taper et soudain tout est parti. -
Parti ? -
Ca a disparu. -
Mmm. Et à quoi ressemble votre écran à présent ? -
À rien. -
À rien ? -
Il est vide ; il se passe rien quand je tape. -
Vous êtes toujours dans wordPerfect ou vous en êtes sorti ? -
Comment je sais ? -
Pouvez-vous voir le prompt C:\ à l'écran ? -
C'est quoi un prompte-ce ? -
Laissez tomber. Pouvez-vous bouger le curseur à l'écran ? -
Y a pas de curseur. Je vous ai dit, il se passe rien quand je tape. -
Est-ce que votre moniteur est allumé ? -
C'est quoi un moniteur ? -
Le truc avec l'écran qui ressemble à une télé. Est-ce qu'il y a une
petite lumière qui vous dit qu'il est allumé ? -
Je sais pas. -
Eh bien regardez à l'arrière de votre moniteur et regardez où va la
prise de courant. Vous pouvez voir ? -
Je pense… -
Bien ! suivez le cordon jusqu'à la prise et dites-moi si elle est
branchée. -
Oui -
Derrière le moniteur, avez-vous remarqué qu'il y avait deux câbles
branchés à l'arrière ? -
Non. -
Eh bien il y en a deux. Regardez à nouveau et trouvez le deuxième. -
… Oui, c'est bon. -
Suivez-le et dites-moi s'il est solidement branché à l'ordinateur. -
Je ne peux pas l'atteindre. -
Oh ! Pouvez-vous le voir ? -
Non. -
Même en vous penchant ou en vous mettant à genoux ? -
Oh non ! C'est juste que je n'ai pas le bon angle, il fait si sombre. -
Sombre ? -
Oui, le bureau est éteint, la seule lumière vient de la fenêtre. -
Eh bien allumez la lumière. -
Je ne peux pas. -
Pourquoi ! ? -
Parce qu'il y a une panne de courant. -
Une panne… Aha ! Voilà la raison. Est-ce que vous avez encore les
manuels et les boîtes et l'emballage que vous avez eus avec l'ordinateur
? -
Heu… Oui, c'est dans le placard. -
Bien ! Allez les chercher, débrancher votre système, emballez-le comme
c'était quand vous l'avez eu. Et apportez-le au magasin où vous l'avez
acheté. -
Vraiment ? C'est si sérieux ? -
J'en ai peur. -
Et qu'est-ce que je leur dit ? -
Dites-leur que vous êtes trop con pour posséder un ordinateur."
_____________________________________________________ On peut devenir riche sans le mail Un
chômeur postule pour un poste d'homme de ménage chez Microsoft. Le Directeur
des Ressources humaines lui fait passer un entretien, puis un test : balayer le
plancher, et lui dit : -
Tu es engagé, donnes-moi ton e-mail et je t'enverrai le formulaire à remplir,
ainsi que la date et l'heure auxquelles tu devras te présenter pour commencer
ton travail. L'homme
désespère et répond qu'il ne possède pas d'ordinateur et encore moins d'e-mail.
Le DRH lui dit alors qu'il est désolé mais que s'il n'a pas d'e-mail, cela
signifie que virtuellement il n'existe pas et, comme il n'existe pas, il ne peut
avoir le job. L'homme
sort désespéré sans savoir que faire avec seulement $10 en poche. Alors, il décide
d'aller au supermarché et acheter une caisse de tomates. Il fait donc du porte
à porte pour vendre ses tomates au kilo et en moins de deux heures, il réussit
à doubler son capital. Il répète l'opération encore trois fois et revient
chez lui avec $60. Alors
il réalise qu'il pouvait survivre de cette manière. Il part de chez lui tous
les jours plus tôt et revient chez lui plus tard et ainsi triple ou quadruple
son argent chaque jour. Peu de temps après, il achète une charette puis l'échange
par un camion et peu de temps après, il se retrouve avec une petite flotte de véhicules
de livraison. Cinq
ans plus tard, l'homme est propriétaire d'un des plus grands distributeurs
alimentaires des Etats-Unis. Il pense alors au futur de sa famille et décide de
prendre une assurance-vie. Il appelle un assureur, choisit un plan d'assurance
et quand la conversation se termine, l'assureur lui demande son e-mail pour lui
envoyer la proposition. L'homme lui dit alors qu'il n'a pas d'e-mail. -
Curieux, lui dit l'assureur. Vous n'avez pas d'e-mail et vous êtes arrivé à
construire cet empire. Imaginez ce que vous seriez si vous aviez un e-mail!!!! L'homme
réfléchit et répondit : -
Je serais homme de ménage chez Microsoft... Morale
de l'histoire n° 1 : Internet ne solutionne pas ta vie. Morale
de l'histoire n° 2 : Si tu veux être homme de ménage chez Microsoft, cherche
à avoir un e-mail. Morale
de l'histoire n° 3 : Si tu n'a pas d'e-mail et que tu travailles beaucoup, tu
peux devenir millionnaire. Morale de l'histoire n° 4 : Si tu as reçu ce message par e-mail, tu es plus proche d'être balayeur que Millionnaire. _____________________________________________________ Même les menteurs trouvent conseil sur l'internet Il
y a ceux qui savent mentir et ceux qui sont maladroits. Même mentir nécessite
un certain savoir faire, nous dit-on dans l'internet. Voici les 10 e-conseils
pour acquérir le savoir mentir. 1)
La base de tout : évitez au maximum de mentir en permanence, sinon les gens ne
vous croiront plus. 2)
Essayez de pleurer en mentant : les gens croient plus facilement une personne en
larmes. 3)
Toujours jurer devant dieu (pas Dieu avec une majuscule, ça peut être
dangereux à terme, mais dieu avec un petit "d", genre Cantona ou
Dollars). 4)
Insistez sur les mots, mettez de
l'intonation (par exemple : JE... JURE... DEVANT... dIEU !). 5)
N'hésitez pas à casser quelque chose (un vase ou n'importe quoi) si vous
sentez que votre interlocuteur doute de vous. 6)
Préparez vos mensonges à l'avance sinon vous allez bégayer ! 7)
Ne jamais bégayer ! 8)
Déménagez tous les deux mois, c'est la durée moyenne nécessaire aux gens
normaux pour réaliser que vous êtes un menteur. 9)
Evitez les trucs trop gros genre "j'ai un slip de l'époque de Don Quichote
chez moi", les gens peuvent savoir que Don Quichote est un personnage de
fiction. 10)
Faites des études de droit, vous pourrez gagner de l'argent en faisant un
excellent professionnel. _____________________________________________________ Un
homme est au sauna en train de relaxer lorsque tout à coup, un portable se met
à sonner. Il prend le portable et répond. -
Allo, chéri, tu es au sauna ? -
Oui, ma chérie. -
Chéri, tu ne vas pas me croire, je suis devant un magasin de fourrures, ils ont
un vison… magnifique, de toute beauté, à un prix… incroyable… -
Combien le vison, ma chérie ? -
Donné, mon amour, donné… 5.000D… tu te rends compte ? -
Mais tu en as déjà des manteaux ma chérie ! -
S'il te plaît, chéri, il est vraiment… superbe ! -
OK, OK… vas-y, achète-le ton vison ! -
Oh, merci mon amour, dis, je ne veux pas t'embêter, mais tu sais, en passant
devant le concessionnaire Mercedes tout à l'heure, j'ai vu le dernier coupé…
il est beau ! magnifique… en plus, j'ai parlé au vendeur et celui en
exposition est tout neuf, intérieur cuir, peinture dorée… je ne veux pas
abuser de ta gentillesse, mais qu'en penses-tu ? -
Chérie, tu exagères, on a déjà des voitures ! -
Tu m'avais promis un jour qu'on aurait une coupée ! -
Combien, la voiture, ma chérie ? -
Tu ne vas pas me croire, mon chéri, ils nous la laissent à 85.000D et avec
toutes les options ! -
Bon OK, OK, on a de l'argent, vas-y.. prends-la, ta voiture ! -
Mon amour, je t'aime, c'est merveilleux la vie avec toi ! Dis, j'abuse, mais tu
te souviens de notre petit voyage à sousse ? Tu te rappelles la maison avec la
piscine, le tennis, tu sais qu'elle est en vente ? Je l'ai vue en passant devant
l'agence ! Et si on l'achetait pour avoir un pied-à-terre dans la région ? -
J'y avais pensé déjà, oui… tu me dis qu'elle est en vente ? -
C'est vrai, chéri, tu y as pensé ? Je peux vraiment aller à l'agence ? Tu
sais, elle n'est vraiment pas très chère, et quelle classe ! -
Combien elle vaut ? -
Ils l'ont affichée à 175.500D, mon amour ! -
Bon, tu y vas, de toute façon, j'ai de l'argent, autant le dépenser… mais
pas plus de 170.000D. -
Mon amour, c'est le plus beau jour de ma vie ! Tu es merveilleux, je t'aime,
vivement ce soir ! -
À ce soir, ma chérie. Le
gars raccroche, lève la main et crie tout fort dans le sauna : IL EST À QUI,
CE CELLULAIRE ? _____________________________________________________ Trois
ingénieurs Apple et trois ingénieurs Microsoft se retrouvent à la
gare pour se rendre à un grand événement informatique. Les
ingénieurs Microsoft demandent trois billets et, à leur grande
surprise, ils remarquent que les ingénieurs Apple n'en prennent qu'un
seul. Étonnés, ils avertissent les ingénieurs Apple des contrôles
systématiques effectués dans le train. Ceux-ci rigolent et leurs
disent "Ah, mais attendez voir...". Au
cours du voyage, le contrôleur entre dans la voiture et, aussitôt, les
trois ingénieurs Apple se dirigent promptement vers les toilettes et
s'y enferment. Les ingénieurs Microsoft remarquent éberlués leur
manège puis, après s'être fait contrôlés, voient le contrôleur
taper à la porte des toilettes en annonçant "Contrôle des
billets !". Une voix à l'intérieur fait "Voilà !" et
un billet passe sous la porte. Le contrôleur vérifie le billet puis
repart. Les
ingénieurs Microsoft sont très impressionnés de la technique des
ingénieurs Apple... Nos
mêmes six ingénieurs se retrouvent au retour de leur événement. Les
trois ingénieurs Apple achètent un billet, tandis que les ingénieurs
Microsoft n'en achètent même pas. Pantois, les ingénieurs Apple ne
peuvent s'empêcher de souligner le risque encouru par les ingénieurs
Microsoft en cas de contrôle. Lesquels rigolent et leur disent
"Ah, mais attendez voir...". Au
cours du voyage, notre contrôleur entre dans la voiture et aussitôt,
les trois ingénieurs Apple se dirigent promptement vers les toilettes
et s'y enferment. Les trois ingénieurs Microsoft, moins prompt à
réagir, se mettent en route doucettement. Une
fois les ingénieurs Apple enfermés, l'un des ingénieurs Microsoft
tape à la porte des toilettes, annonce "Contrôle des billets
!", récupère le billet des ingénieurs d'Apple et file s'enfermer
dans les toilettes avec ses deux acolytes... Le morale de l'histoire : chez Microsoft, non seulement, ils piquent les idées des autres mais, en plus, ils les améliorent !. _____________________________________________________
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