Blagues : Profession Comptable |
Honoré
de Balzac n'aimait pas les comptables ; Mais, ça ne lui a pas porté bonheur. Honoré
de Balzac, cet écrivain de grand talent, avait probablement des comptes à
régler avec les comptables. Il
a dégné décrire un comptable qui, le moins qu'on puisse dire, ne donnait pas
envie : cet ancien teneur de livres du Trésor, quand le trésor avait des
livres tenus en partie double et qui a été muté dans une voie de garage quand
la comptabilité publique a renoncé à la partie double. Ce comptable nous dit
donc honoré de Balzac "était un gros et gras bonhomme, très fort sur la
tenue des livres, et très faible en toute autre chose, rond comme un zéro,
simple comme bonjour, qui venait à pas comptés comme un éléphant, et dont
personne, au ministère, s'il ne doutait qu'il était une bête... n'avait
jamais pu savoir jusqu'où allait sa bêtise : elle était trop compacte pour
être interrogée, elle ne sonnait pas le creux, elle absorbait tout sans rien
rendre... " La
morphologie ridicule de "l'ancien Teneur de livres" avait tenté le
crayon caustique d'un de ses subordonnés, ...
qui avait d'abord dessiné un œuf, droit comme celui de Colomb (Christophe), le
côté le plus fin vers le haut : sur
ce côté supérieur, il avait placé une tête à perruque ; en
dessous de l'œuf, son génie avait tracé deux minuscules petites jambes, et
dans un cartouche semblable à ceux des pharaons de la Xe dynastie, il avait
inscrit : ...
"Né pour payer et recevoir sans jamais commettre d'erreurs. Un peu moins
de bonheur, il eût été garçon de la Banque de France ; Un peu plus
d'ambition, il était remercié... " BALZAK,
écrit André Tessier membre du Comité International des histoires de la
comptabilité, a donc poussé à l'extrême ridicule la qualité maîtresse du
comptable, c'est-à-dire LA MÉTHODE, au point d'en faire un grotesque et
burlesque défaut, et de la précision minutieuse en toutes choses il a fait une
exaspérante manie, une abominable caricature. Ah ! oui, les personnages de
BALZAC, quand ils sont des comptables, ne fument pas des Camels et ne viennent
pas au travail en voiture américaine !... et pour cause, ni les unes ni les
autres n'avaient encore été inventées... "...
des employés à front chauve, frileux, bardés de flanelle, perchés à des
cinquièmes étages, y cultivant des fleurs, ayant des cannes d'épine, de vieux
habits râpés, le parapluie en permanence... qui représentent les pions de
l'échiquier bureaucratique... A l'aspect de ces étranges physionomies, il est
difficile de décider si ces mammifères à plume se crétinisent à ce métier,
ou s'ils ne font pas ce métier parce qu'ils sont un peu crétins de
naissance... La nature, pour l'employé, c'est les bureaux ; son horizon est de
toutes parts borné par des cartons verts ; pour lui, les circonstances
atmosphériques, c'est l'air des corridors, les exhalaisons masculines contenues
dans des chambres sans ventilateurs, la senteur des papiers et des plumes ; son
terroir est un carreau, ou un parquet émaillé de débris singuliers, humecté
par l'arrosoir du garçon de bureau ; son ciel est un plafond auquel il adresse
ses bâillements, et son élément est la poussière..." Pas
flatteur, n'est-ce pas, le portrait du Teneur de livres de l'époque balzacienne
!... Et pourtant, ce grand écrivain avait plus besoin que quiconque des
services d'un comptable compétent quand il s'est lancé en affaires. Mais
sa culture anti-comptable a amené Le Balzac, l'imprimeur, à une énorme
déconfiture en 1828. Il
a depuis traîné toute sa vie restante le lourd boulet de ses dettes, les
poursuites incessantes de ses créanciers et de leurs huissiers et les
humiliations sans nombre des personnes criblées de dettes. _____________________________________________________
Vive
la comptabilité et vivent les comptables clamait Proudhon, lui même comptable
d'origine. Pierre
- Joseph PROUDHON, ce grand économiste du 19ème siècle a été parmi les
premiers à s'engager pour réhabiliter la comptabilité et les comptables. Lui
même comptable, il a démarré sa vie professionnelle par la tenue des livres
comptables d'un transporteur. Cette
qualification lui permettait d'être parmi les rares qui savaient de quoi ils
parlaient en parlant de comptabilité. Son
engagement pour cette discipline nous donna les définitions suivantes : Le
comptable, selon PROUDHON, "est un organe de la pensée
économique..." alors que la comptabilité est "la science des comptes
de la société...". Et
notre ami PROUDHON ajoutait : "
Dans chaque établissement industriel, dans chaque maison de commerce, à côté
des ouvriers occupés à la production, à l'expédition, à la rentrée des
marchandises, en un mot à côté des travailleurs spéciaux, il est un employé
supérieur, un représentant (si j'ose ainsi dire) de la loi générale, un
organe de la pensée économique, chargé de tenir note de tout ce qui se passe
dans l'établissement, au point de vue des procédés généraux de la
production, de la circulation et de la consommation. Cet
employé est le comptable... C'est
lui, lui seul, qui peut apprécier les effets d'une division du travail bien
entendu ; dire quelle économie apporte une machine ; si l'entreprise couvre ou
non ses déboursés... etc... Le
Comptable, pour tout dire est le véritable économiste, à qui une coterie de
faux littérateurs a volé son nom, sans qu'il en sût rien, et sans
qu'eux-mêmes se soient jamais doutés que ce dont ils faisaient tant de bruit,
sous le nom d'économie politique, n'était qu'un plat verbiage sur la tenue des
livres..." _____________________________________________________
La
comptabilité élève haut son Bonhomme à condition de ne pas y rester Une
bonne formation comptable peut vous élever très haut nous enseigne les trois
histoires suivantes, à condition toutefois de changer de métier. 1)
Confucius était comptable : CONFUCIUS,
le grand CONFUCIUS, objet de la vénération des centaines de millions
d'asiatiques... CONFUCIUS a débuté dans l'existence professionnelle comme
teneur de livres, comme scribe, au service d'un grand personnage de LOU, sa
propre ville natale. "Je
fais en sorte", disait-il, "que mes comptes soient exacts." Il
fût, au service du prince de LOU, un employé modèle, un collaborateur de
grande valeur, sérieux, compétent, avisé, ce qui lui valut d'être chef pour
gérer les affaires financières du pays. 2)
John David ROCKEFELLER (1839 - 1937) était comptable : Le
célèbre fondateur de la STANDARD OIL, aujourd'hui ESSO, celui qui a constitué
une dynastie représentative de l'une des plus grandes fortunes du monde a
démarré sa vie professionnelle comme un comptable dans une compagnie
d'assurance. 3)
L'histoire légendaire de LAFFITTE : En
allant demander un emploi, LAFFITTE se voit répondre comme tout le monde
"laissez votre adresse, on vous écrira". En
repartant, il voit une épingle par terre. Il s'abaisse pour la ramasser pour
fixer le revers de son veston. Le
patron qui observait de la fenêtre, le voyant agir ainsi, l'a fait rappeler
pour l'embaucher de suite comme teneur de livres. Gravissant
successivement l'escalier de la banque, puis tous les échelons de la
hiérarchie sociale, jusqu'aux fonctions de Régent de la Banque de France et de
ministre, LAFFITTE qui a démarré teneur de livres devient l'associé du patron
de la Banque qui, à sa mort, le désigna pour lui succéder : Président du
conseil. _____________________________________________________
Le
marketing délirant de certains pédagogues comptables d'autrefois André
Tessier, Expert-comptable et historien en comptabilité, rapporte l'histoire de
certaines publications des plus insolites qui polluaient le marché de la
littérature comptable : LA
PARTIE DOUBLE SANS SUPPOSITIONS ET SANS PERSONNES, PARIS, 1887, par le sieur
Pietro d'ALVISE. NOUVELLE
METHODE DE TENUE DE LIVRES A PARTIES DOUBLES, "diminuant plus de la moitié
des écritures et des frais ; "brochure de 8 pages, publiée en Belgique en
1810. Auteur : anonyme." (Quel dommage !...) L'INTRUSION
DU FISC DANS LA COMPTABILITE DES SOCIETES DE CREDIT, PARIS, 1906. L'auteur n'a
pas voulu dévoiler son nom. Pourtant, quel précurseur ! TENUE
DES LIVRES MISE A LA PORTÉE DE TOUS, "d'après une méthode ingénieuse et
pratique, PARIS, 1904." LA
RECTITUDE, SYSTÈME DE COMPTABILITÉ EN PARTIE DOUBLE, GENÈVE, 1877 et PARIS,
1889. L'auteur est le sieur BADOUX, qui s'annonce comme "Ancien
Notaire". Alors, la rectitude, on comprend !... D'autant plus, ajoute
REYMONDIN, d'après une déclaration du Notaire BADOUX, "qu'en employant
son système on obtient... une "économie de temps et d'argent de 50 à 70%
sur tout autre système... On supprime les actifs fictifs et irréguliers, les
grands pointages, les formules bizarres des anciens systèmes, etc... et aussi
toute leçon de tenue de livres, dix minutes suffisant pour la
démonstration..." Qui
dira mieux ?... le sieur BEAUCHERY (A.) qui, en 1865, publie à PARIS son
ouvrage : RÉVOLUTION
DANS LA COMPTABILITÉ, OU COMPTABILITÉ DE L'AVENIR. "Plus de partie
simple. Plus de partie double. Plus de comptes généraux. Plus de Journal...
" Mais
alors, Grand Dieu !... Que reste-t-il ? Il
reste qu'une première suite, intitulée : TENUE
DE LIVRES PRATIQUE, SUITE A LA RÉVOLUTION DANS LA COMPTABILITÉ, s'exprime plus
fortement encore, quand elle nous dévoile la pensée intime de l'auteur :
"Nul ne doit parler économie sociale, nul ne doit être député, s'il
n'est Teneur de livres, axiome prouvé par l'impôt, qui ne doit être ni sur le
capital, ni sur le revenu..." Messieurs
de l'Assemblée Nationale, à vos livres de compte !... Un
tel prône le système anglais, puis le système américain (BIANCHI). Tel autre
(BILANDE) propose "plusieurs moyens d'abréger considérablement et
avantageusement les écritures de la Tenue de livre en partie double". Un
autre encore (BOLLAND-LEJEUNE) parle d'une "méthode nouvelle et
rapide", ou bien Bonnot d'un système de comptabilité algébrique...
Légion sont ceux qui veulent abréger, par des méthodes inédites, la durée
de passation des écritures, ou bien la durée des études pour acquérir la
science comptable. Quant
aux nouveaux systèmes de Comptabilité, ils ne se comptent plus : la
logismographie, la digraphie, la partie triple, la comptabilité
"standard", la comptabilité "secrète", la comptabilité
"réelle", la comptabilité à "compensations générales"
(???), la comptabilité "privée", la comptabilité
"anglaise", la comptabilité "universelle", la
"rapide", la "rationnelle", la comptabilité
"automatique", la "statmographie", la Tenue des Livres
autodidactique, la comptabilité "technique", etc. Et j'en passe, oh !
combien ! Tous
ces titres nous reportent, loin en arrière, au temps où chaque comptable,
chaque teneur de livres, chaque possesseur de plume sergent-major inventait sa
propre méthode - supérieure à tout ce qu'on avait vu jusqu'alors - faisait
imprimer ses propres tracés qu'il diffusait partout où il pouvait, permettant
à chacun, sans études, sans efforts, sans temps gaspillé, presque avec joie,
plaisir, enthousiasme et euphorie... de tenir ses propres comptes, de savoir à
tout moment "où il en était de ses affaires", de connaître sa
situation à tout instant, etc... etc... Au
temps également où les comptables en mal de pédagogie faisaient assaut
d'ingéniosité pour réduire le temps des études... D'ingéniosité, ou
d'imagination... "En quatre mois devenez comptable"... Quel retard !
alors que certains de nos prédécesseurs en comptabilité se faisaient fort de
former des professionnels accomplis en deux mois... ou deux heures... ou
quelques minutes... Comme
quoi, à certaines époques, l'humour a régné en maître dans l'enseignement
comptable... consent André TESSIER. _____________________________________________________
Une
certaine définition du comptable Un
homme de littérature donnait les définitions suivantes : -
Une sténo-dactylo, c'est cet instrument à qui on dicte des fautes de français
et qui restitue des fautes d'orthographe. -
Le comptable, c'est ce sorcier qui, pour cacher les désordres ouvre des
"comptes d'ordre". _____________________________________________________
Incompris
parce qu'incompréhensibles Selon
Auguste Detœuf, un homme de littérature, il y aurait dans la création
humaine, trois sortes d'êtres au langage mystérieux, "les
plus aisés à comprendre étant les fous ; après eux, les polytechniciens ;
enfin, les Comptables... " Et
DETŒUF ajoute que : "le
Comptable croit qu'il doit avoir de l'initiative ; il se trompe... car la chose
la plus redoutable, c'est l'imagination ou la fantaisie du Comptable." Sa
conclusion était alors qu'une comptabilité gagne à n'être point organisée
par un Comptable, ce Comptable qui : "se
figure qu'il dirige la maison parce qu'il fait les comptes... Allons,
bougonnait-il, est-ce que le phare qui éclaire la route conduit l'automobile
?" _____________________________________________________
L'histoire
ancienne de la légende des "comptes à dormir debout" André
BOULLE, embouchait la même trompette de groupe anti-comptable, et déversait
sur lui toutes les facéties sarcastiques dont il était capable. Le
chapitre qui nous est réservé dans son œuvre écrite s'intitule : "COMPTES
A DORMIR DEBOUT" "Il
était une fois, dans une province reculée," écrit l'homme, "un
pauvre jeune homme qui croyait encore aux fées, et qui voulait faire carrière
dans l'industrie... Dès la première heure, il se heurta à des enchanteurs
nommés comptables, petits et grands, aides ou experts... et, pour jamais, il
sentit son cœur déborder d'humilité. D'abord,
le malheureux ne comprenait rien de rien à cette science dont on avait essayé
de lui enseigner les rudiments à l'école, après mille autres. Comme si on
pouvait apprendre la Comptabilité en classe !... Aviez-vous compris, vous, les
subtilités de l'écriture passée par le débit du compte ?... du capital
figurant au passif, alors qu'on se le représente actif, dynamique, sonnant et
trébuchant ?... Mais j'en passe, et des meilleures !... Aussi,
n'aborda-t-il les Comptables qu'avec déférence..." Et
le jeune homme d'entreprendre de réformer tout, dans l'entreprise qui avait
bien voulu de lui. D'abord,
le calcul du prix de revient. "Halte-là
! s'écria le vieux Chef-comptable, pourquoi tout changer ? Pourquoi même
établir des prix de revient, anciens ou modernes, puisque tout allait bien sans
cela !... Car il sortait chaque mois, lui, le Comptable, à la pointe de sa
plume, l'énorme chiffre d'affaires de l'usine. La
Comptabilité, ajouta le vieux praticien des chiffres, la Comptabilité, un
drôle de truc !... Pas une erreur à commettre, faut que ça colle, de bout en
bout !... On brasse des chiffres, encore des chiffres. Pas un mouvement
d'espèces sans exiger une pièce de caisse. Et puis, mes contrôles, mes
petites exigences comptables, ça freine les dépenses, voyez-vous !... Tout ce
qui se dépense est toujours trop cher, et ce gaspillage se reproduit beaucoup
trop souvent... Ah !... ma Caisse fait des envieux ! Tous sont volontaires pour
la mettre à sac et à sec, mais j'ai l'œil !... S'il le faut, jeune homme, je
coucherai devant mon coffre !... Mais,
hasarda le jeune homme, qu'y a-t-il d'extraordinaire dans votre coffre ? Rien,
Monsieur... ou presque. Mes livres, mes livres de comptes... Le
coffre fermé, les grillages serrés, les guichets étroits de son bureau
étaient autant de symboles de la méfiance congénitale de ce Comptable. On
racontait sous le manteau que, pour lui, l'argent était à sens unique : Entrée
libre... Sortie interdite !... ...
la paie à établir, les banques à contrôler, la caisse et les livres à
tenir, les balances à préparer, l'inventaire à chiffrer !... ce qui valait
aux autres de supporter, à intervalles réguliers : "la
mauvaise-humeur-paie, l'imprécation-contrôle-des-banques, la pituite-balance,
et la rogne-inventaire... Arrive
cependant, à intervalles réguliers, un consultant, un monsieur, "un
gommeux" qui, au lieu de cigarettes ordinaires (comme tout le monde), fume
des "Camels", pose des questions insidieuses à tout le monde. Et
il nous coûte cher, ce consultant de malheur, monsieur, pour un seul jour de
travail par mois ! gémissait le Comptable, qui avait, lui, refusé une
augmentation. Ah ! non, pas de gaspillage !... C'était
encore cette hantise du gaspillage, qui lui donnait cette horreur des machines
à calculer. Il n'en était pas encore au stylo, mais au bon vieux porte-plume
ordinaire, avec plume sergent-major, qu'il rangeait avec soin dans un étui en
cuir, avec ses trois crayons noir, rouge et bleu... La
règle à calcul ? - Après tout, votre bout de bois, il ne fait même pas les
additions !..." Ce
petit bonhomme vieillot, parcheminé, maniaque et insignifiant, qui était le
Comptable, ce petit bonhomme "n'était pas un as, mais il avait de l'ordre,
de la ténacité, un dévouement extraordinaire, une grande honnêteté - dont
il ne parlait jamais, - ce qui était bon signe..." Mais
il avait un défaut : "il
additionnait depuis trente ans ses heures supplémentaires, d'ailleurs
volontaires... Total impressionnant... Las ! on ne les payait pas, à cette
époque, les heures supplémentaires, et c'est par fierté qu'il les
comptabilisait, sans aucun esprit de revendication..." Le
brave homme !... il y a des comptables diplômés, aux méthodes ultra-modernes,
qui ne le vaudront jamais !... "Le
jeune homme, qui était un ingénieur, installa un "machin"
compliqué, qu'il appelait "un tableau de bord"... Le vieux comptable,
qui avait fait 14-18, soupira d'une voix émue : "Un tableau de bord ?
Comme dans un avion, quoi !... ... Tout ce qu'il faut pour se casser la gueule... !" Un
plus un, combien peuvent-ils bien faire ? Un
vieux chef d'entreprise qui n'a que faire des nouvelles théories de gestion
cherche désespérément un comptable digne de ce nom, à ses yeux, pour
remplacer son défunt comptable, disparu à 75 ans, qui ne pouvait décrocher
avant trépas 15 ans après son départ "théorique" à la retraite. Après
9 candidats, notre super manager est vraiment déçu, non pas parce que les
candidats manquent de compétence mais c'est plutôt la pertinence qui leur fait
défaut. Il faut dire que la question posée n'était pas difficile en soi et
que tous ont répondu juste. En effet, après les questions de routine, il
était demandé à chaque candidat, combien 1+1 peuvent faire ? Au
lieu de répondre par 2, comme l'ont fait précipitamment les 9 premiers
candidats, le 10ème se montre plus réservé. Il reformule la question : combien ils font ou combien ils peuvent faire ? Soulagé, le patron insiste : combien ils peuvent bien faire ? Alors,
avec l'assurance d'un vieux expérimenté, notre candidat répond : "1
+ 1 font d'ordinaire 2 patron. Mais ils peuvent bien faire plus de 2 ou moins de
2 si tel est votre désir." Devinez qui a été pris ? 1-
Vous êtes trop sincère pour faire de la pub. 2-
Vous êtes contents de revoir les mêmes copains tous les ans aux examens. 3-
Vous n'êtes pas bon en orthographe. 4-
Vous pourrez garder vos trucs même en changeant de boulot. 5-
Il ne faut pas être un génie pour réussir. 6-
Vous n'aimez ni le cinéma, ni la vie de famille. 7-
Dans les chiffres et les lettres, vous ne trouvez ni les uns ni les
autres. 8- Vous aimez lire les blagues et jouer aux échecs sur le net. _____________________________________________________
Que
demande la femme d'un comptable à son mari lorsqu'elle cherche à s'endormir
rapidement ? Elle
lui demande de lui raconter ce qu'il a fait au travail. On ne sait pas qui a inventé cette blague, mais on sait que depuis qu'elle a été inventée, les comptables se sont jurés de ne plus jamais parler de leur travail à leurs femmes. Du coup, si vous demandez à la femme d'un comptable de vous dire ce que fait son mari, elle avouera, qu'à part le fait qu'il est un faiseur d'additions, elle n'a pas la moindre idée de ce que représente le travail comptable. _____________________________________________________
|